Roses

I actually am knitting right now, two pairs of socks from my 2 At a Time Socks book, along with that scarf I posted earlier. But instead I've decided to show pics of my roses blooming. I love my flowerbed, it requires the best kind of maintenance from me, ie none and I do mean absolutely no effort. Didn't protect them last winter (though I never do) and I didn't even trim them down like you're supposed to after the frost was gone. My 10$ roses that I picked up at Zellers (think Wal Mart but more genteel...) are looking spectacular, at least our crappy weather in Montreal so far is good for something. That last pic is my rustic rose, it only has one bloom so far but it normally blooms around St-Jean Baptiste day (June 24) anyway. I like it the best because it smells heavenly. Don't worry, the video only lasts a minute. The song is Je t'aimai, je t'aime et je t'aimerais (I loved you, I love you and I always will love you) by Francis Cabrel.

J'ai trois projets de tricots en ce moment: 2 pairs de chaussettes de mon livre 2 At a Time Socks, ainsi que le foulard que j'ai montré plus tôt. En lieu et place je vous montre mes rosiers en fleurs. J'adore mon parterre, il exige le genre d'entretien que je peux fournir ie absolumment aucune manipulation. Je ne les ai pas protégés l'hiver dernier (de toute façon, je ne le faisais jamais) mais je crois que toute cette neige qu'on a eu l'hiver dernier les a assez bien protégés. Je ne les ai même pas taillés une fois le gel passé tel qu'on est supposé faire. Mes rosiers à 10$ que j'ai achété chez Zellers (magasin de grande surface de bas de gamme) sont vraiment spectaculaires. Au moins notre temps pourri des dernières semaines sert à quelque chose. La dernière photo est mon rosier sauvage qui n'a qu'une fleur en ce moment, de toute façon il n'explose qu'à la St-Jean Baptiste. C'est mon préféré car ses fleurs ont une divine odeur. Ne vous inquiétes pas, ça ne dure qu'environ une minute. Pour ceux qui ne la connaisse pas, la chanson est Je t'aimais, Je t'aime et Je t'aimerai par Francis Cabrel.