Sunday, December 10, 2006

Blood diamond (edited)/Diamant de sang (version revisée)

Last night, Annie and I checked out Blood Diamond, the Leo DiCaprio movie about the devastating affect of the diamond industry on small west African countries like Liberia and Sierra Leone. I went because I had nothing better to do on Saturday night. To tell you the truth I was not very interested in seeing the movie for two reasons. About 10 years ago or more, I had seen a documentary on the industry and at the time what struck me the most was the fact that diamonds are not the rare commodity that they are said to be and if the DeBeers family was to flood the market of all the rocks they had, the prices would just drop. I knew I wasn't going to learn anything new, the same I felt after seeing the movie Traffic. True you get to see a graphic of the portrayal of the civil war but that was not enough to make this movie more compelling to me. The other reason why I didn't want to see this film is because of Leo himself. I've never found his baby face very attractive and I was afraid he was going to play the American bleeding heart who comes to save the Africans from themselves. He was actually playing a Rhodesian/Zimbabwean/whatever former soldier/mercenary/diamond smuggler. His acting has marginally gotten better since the last movie I've seen him in (The Aviator, three hours of my life I'll never get back) but he sure did get prettier (read manlier). I really don't understand where all that talk of Oscar is coming from. Jennifer Connelly is the American journalist who's come to Africa to tell the story because she wants to change the world and off course the U.S. leads the charge to try to get conflict diamonds off the market. All in all, this movie is marginally interesting.

Edited to add: It's true I forgot to mention the gorgeous Djimon, here he plays the proud father who tries to save his family with the "help" of Leo's mercenary. He was fine, but I was constantely distracted by the fact that in Hollywood, any black person will to play a role even though they do not the typical traits requiered. But then I think the same when the person is supposed to be Haitian (Bad Boys II is an embarassment) or when the person is supposed to be Quebecois (I think that it's the movie French kiss that the stewards on the Air Canada flight speak with Parisian accent).

Hier soir, Annie et moi sommes aller voir le Diamant de sang, le film de
Leonardo DiCaprio qui traite des effets dévastateurs de l'industrie du diamant dans les petits pays de l'Afrique de l'ouest. En fait j'y ai été parce que je n'avais rien de mieux à faire ce samedi soir. Je n'étais pas très intéressée à voir ce film pour deux raisons. La première est le fait que j'étais déjà au courant au sujet des diamants. Il y a dix ans, j'avais vu un documentaire sur cet industrie et ce qui m'avait frappée à l'époque était le fait que les diamants ne sont pas des denrées rares et que si la famille DeBeers inondait le marché des diamants en sa possessions, les prix chuteraient. Je savais que je n'allais rien apprendre de nouveau, comme c'était le cas pour le film Traffic. Il est vrai que l'on voit un portrait assez saisissant de la guerre civile mais ce n'était pas assez pour rendre ce film plus touchant pour moi. L'autre raison était Leonardo lui-même. J'ai toujours trouvé qu'il avait l'air trop jeune pour jouer des rôles d'adultes et j'avais peur qu'il qu'il allait y jouer un américain venu sauvé les africains. En fait il joue un mercenaire du Zimbabwe (bien qu'il se dise Rhodesien) devenu un contrebandier de diamant. Son jeu d'acteur s'est à peine amélioré depuis le dernier film où je l'ai vu (L'Aviateur, de grâce épargnez-vous cette perte de temps) mais au moins son visage a finalement vieilli, le rendant plus attrayant à mes yeux. Je ne comprends pas ces rumeurs de nominations aux Oscars. Jennifer Connelly y joue la journaliste venu sauver le monde et évidemment les États-Unis y sonnent la charge pour le retrait des diamants venant de zones conflictuelles. Au bout du compte, rien d'intéressant selon moi.


Révision: Il est vrai que j'ai omis de mentionner le beau Djimon, ici il campe le rôle du père de famille qui tente de trouver les siens avec l'"aide" du mercenaire joué par Leonardo. Il a bien fait le boulot mais j'ai été distraite par le fait qu'à Hollywood, lorsqu'on a besoin de quelqu'un pour jouer un rôle de noir, on ne prend pas le temps d'en trouver un qui à l'air d'être de la région où se tient le film. Mais je pense aussi la même chose quand il s'agit d'un haïtien (Bad Boys II est un exemple flagrant) ou lorsque le personnage est supposé être québécois (je pense que c'est dans French Kiss que les hôtesses de l'air d'Air Canada parle avec l'accent parisien...)


3 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Thanks for the review - I don't really care to see it either, but I'm glad to hear that it's not one of those movies (like the Aviator) that you feel like you wasted your life on! Leo does look more manly now - he's aged for this film!

8:33 AM  
Blogger K. said...

wow...at least that confirms why I didn't want to go see this movie!

12:49 PM  
Blogger Memeeflye said...

J'avais voulu voir ce film. Je souhaite juste que Djimon Hounsou obtienne un rôle où il est l'acteur de fil et pas le rôle typique de système de "copain" de hollywod pour les acteurs noirs.

3:01 PM  

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